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Tenerife

Publié le 5 janvier 2018

Si l’on excepte le parc national du Teide, Tenerife est l’illustration désolante de ce que peut être l’industrie du tourisme . Heureusement, il reste quelques parties du littoral que le relief rend vraiment inconstructible, mais le reste de la côte n’est qu’une suite de complexes touristiques et de centres commerciaux, reliés par une voie rapide.

Falaises de Los Gigantes.

Le centre historique des villes anciennes présente encore quelques beaux exemples d’architecture canarienne, mais ceux-ci tendent à être phagocytés par les constructions qui les cernent et dénaturés par l’activité commerciale. 

La Laguna.

La Orotava.

Puerto de la Cruz.

Au nord de Santa Cruz, le massif préservé d’Anaga offre de beaux panoramas et abrite la longue plage de sable clair de Teresitas.

 

 

 

La vallée de La Laguna et le Teide, vues du massif de l’Anaga.

Puerto de la Cruz, avec barre hôtelière et Teide.

L’ile de Gran Canaria depuis la route des crêtes.

La visite du parc national du Teide pourrait à elle seule lever les réserves que Tenerife nous inspire. Le site est magnifiquement mis en valeur et lors de nos deux visites, malgré une météo idéale, la fréquentation du public était limitée (contrairement aux abords des piscines des hôtels du littoral). Le Teide, qui culmine à 3718 m, est le sommet le plus haut de l’archipel et également de l’Espagne. Généralement ses flancs sont couverts de neige en hiver, mais, sans doute à cause du réchauffement climatique, celle-ci était absente. Quelque soit le côté par lequel on l’aborde, il offre de belles perspectives. La dernière éruption remonte à 1909 et, compte tenu de sa nature et de la population qu’il menace, il fait partie des volcans les plus surveillés.

 

 

 

 

 

L’ile de la Gomera depuis le parc national du Teide.

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