Cauchemar viral
Publié le 2 mai 2020En me réveillant, angoissé, j’ai d’abord soupçonné un symptôme neurologique du Covid 19 : Carbonara était au mouillage, cerné de catamarans. Pour me libérer de cette vision de cauchemar,
En me réveillant, angoissé, j’ai d’abord soupçonné un symptôme neurologique du Covid 19 : Carbonara était au mouillage, cerné de catamarans. Pour me libérer de cette vision de cauchemar,
Après quelques semaines à vivre à l’heure espagnole à Santa Cruz de Tenerife, et un saut en Bretagne pour passer Noël en famille, nous sommes maintenant à quelques jours du départ, prévu le 6 Janvier.
Quand on a tiré ses premiers bords à la fin des années 70 et que l’on est venu à la voile par la lecture des récits de Moitessier et de Damien, on est parfois nostalgique d’une époque révolue.
Dans l’archipel, en règle générale, la navigation est régie par un principe simple, profiter du flux de Nord-Est (force 4) quasi permanent, en anticipant ou en évitant les accélérations du vent près du relief de la plupart des îles.
Le départ approche et, avec le carénage, les préparatifs s’achèvent. Le bateau est dans la même configuration que la saison dernière, mais nous avons profité de l’hiver pour optimiser certains équipements.